Chaque femme, chaque vie de femme est précieuse, sans distinction.

Le 25 novembre, est la journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes. A cette occasion, le CECIF qui se réfère à la résolution 1325  dont elle a fait l’une de ses priorités, marque sa solidarité avec les femmes victimes des conflits, des guerres,  victimes des viols utilisés comme armes de guerre ou féminicide. La liste est longue, du Congo au Rwanda, de  l’Ukraine à la Syrie et l’Iraq, de l’Iran à l’Afghanistan, à Gaza,  leurs vies  sont brisées et le monde regarde ailleurs.

Nous appelons toutes les femmes dans le monde à s’exprimer car aucun narratif ne devrait être exclu.

La vie de chaque femme est également précieuse et c’est pourquoi le CECIF condamne fermement tous les actes de guerre, de terreur et de violence à l’encontre des femmes, des filles et des civils où qu’ils aient lieu.

C’est pourquoi, nous condamnons le féminicide de masse du 7 octobre par les terroristes du Hamas à l’encontre des femmes israéliennes, car les femmes n’ont pas été tuées de la même manière que les hommes. Elles ont été violées, exhibées nues, démembrées, mutilées… Ces crimes ont été exécutés contre des femmes à cause de leur sexe !

C’est ce féminicide de masse que nous devons regarder en face, sans le diluer dans des opinions ou parti-pris à propos du conflit israélo-palestinien. Oui, c’est exigeant et difficile, mais nous nous devons de le faire parce que cette fois, encore, ce sont les femmes (et leurs enfants) qui sont les premières victimes des guerres et des conflits armés.

Les violences exercées sur les femmes violées et tuées correspondent en tout point à la définition du féminicide, c’est-à-dire le meurtre de femmes ou de jeunes filles en raison de leur sexe. Des femmes ont été exhibées nues. Des femmes ont été violées au point de fracturer leur bassin. Leurs cadavres ont été violés également. Leurs organes génitaux ont été abîmés. Ils ont uriné sur leurs dépouilles. Certaines ont été décapitées, d’autres démembrées et brûlées. D’autres encore ont été prises en otages. Tout cela a été filmé et pris en photo pour susciter la terreur parce que les femmes et les enfants sont les symboles de notre humanité. Des femmes handicapées aussi ont été violées et tuées comme Noya, autiste, et Ruth, polyhandicapée.

C’est un appel d’urgence, lancé pour être la voix de toutes les femmes qui ont été brutalement violées, maltraitées, brûlées, décapitées et assassinées le 7 octobre en Israël ( Juives et arabes) – certaines dans leur maison, d’autres dans leur lit, d’autres en dansant dans un Festival de musique….

Nous portons leur voix, comme celle des femmes et jeunes filles, toujours retenues otages ou portées disparues.

Cliquez ici Pour signer la pétition.

C’est pourquoi nous faisons également appel à ONU Femmes qui a minimisé les attaques du 7 octobre  et les a qualifiées de « conflit à Gaza » et n’a même pas défini le Hamas comme une organisation terroriste, comme l’ont fait les États-Unis et l’UE.

Dans aucunes de ses publications officielles, ONU femmes n’a évoqué ni mentionné les centaines de femmes, adolescentes et jeunes filles israéliennes qui ont été brutalement violées, maltraitées, brûlées, décapitées, assassinées et kidnappées par l’organisation terroriste du Hamas.

Aucune mention, demande ou appel au retour des femmes israéliennes ( juives et arabes) kidnappées, parmi lesquelles des jeunes filles et des personnes âgées ; pas non plus d’appel pour qu’intervienne la Croix-Rouge ou d’autres organisations de défense des droits humains de premier plan.

Pourquoi ? Pourquoi pas pour  elles ?

Vous non plus ne restez pas silencieuse

Si, pour vous aussi, la vie de chaque femme a de la valeur, signez la pétition https://www.metoo-unlessurajew.com/